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Italie 1 au 31 mai
1 mai
Réveil sous un ciel bleu et ses 26°. Vu que mes derniers soins dentaire sont programmés pour demain nous allons faire une petite excursion dans la région «Castelli Romani» sur les flancs des monts Albains d’origine volcanique, des pâturages et des châtaigneraies couvrent les sommets, tandis qu’en bas poussent les oliviers et la vigne.
C’est au Monte Cavo (949m) avec une belle vue sur la région des Castelli et jusqu’à Rome que nous déjeunons.
Cette belle route qui serpente à travers les bois de châtaigniers et de chênes ne nous permet pas d’acheter du muguet mais des fraises de la région par les producteurs.
A Castel Gondolfo, nous nous promenons dans cette petite cité et passons devant la résidence d’été des papes avec une place bordée de boutiques et une vue sur le lac d’Albano.
Nous bivouaquons à Castel Gondolfo
3 mai
Après avoir fait le plein d’eau nous prenons la route vers Caserta Vecchia (la Campanie) cette petite ville perchée sur un piton rocheux dominée par les vestiges de son château, nous nous garons dans un petit parking situé juste à l’entrée du village.
Nous nous promenons dans les ruelles médiévales pavées étroites à demi abandonnées, ce n’est maintenant plus qu’un bourg touristique, avec sa superbe cathédrale du XII ème siècle et les ruines de son château avec une vue magnifique sur la plaine et le Vésuve dans la brume (à gauche sur la photo)
4 mai
Il fait très beau ce matin et chaud, nous redescendons dans la plaine vers Caserte et cherchons un parking pour la visite du palais royal (Regia) construit dans un style qui rappelle celui du château de Versailles.
Nous commençons nos visites part les appartements royaux, on y accède par un impressionnant escalier monumental en marbre qui donne dans un grand vestibule.
On traverse plusieurs grandes salles richement décorées, pour arriver à la salle du trône.
Après nous allons visiter le parc, d’une longueur de 3 km sur 120 ha, il est inspiré de celui de Versailles, avec plusieurs pièces d’eau en enfilade, des fontaines et des cascades.
Après cette belle visite, dans l’après midi nous allons à Santa Maria Capua Vetere 5 km plus loin ou nous nous installons pour la nuit. Nous entrons dans la ville en passant sous l’arc d’Hadrien dont une arche est encore debout, le stationnement est juste derrière l'amphithéâtre, celui-ci était le deuxième plus grand de l’empire après le Colisée à Rome.
5 mai
C’est vers 10h que nous quittons Santa Maria Capua Vetere en direction de Pozzuoli au camping Vulcano Solfatara qui est installé dans le cratère d’un volcan. L’entrée au camping n’est pas large, il faut rabattre les rétroviseurs.
Le camping est effectivement situé dans le cratère d’un volcan en état de repos ???, il est connu pour ses jets de vapeurs sulfureuses à 160° C de température, en s’échappant ils déposent une couche de soufre sur les pierres,
au milieu du cratère il y a une mare de boue blanche qui bouillonne. C’est impressionnant à voir ces fumerolles qui s’échappent de la terre.
Au camping il est même possible de prendre un bain de vapeur naturel, un sauna est a notre disposition (gratuit). Après avoir visité le cratère nous programmons la journée de demain qui serra Naples.
6 mai
Aujourd’hui Naples est au menu !!! Nous quittons le camping pour prendre le train et débarquons à Naples après 20 mn de trajet, il y a un monde incroyable, bruit de circulation, embouteillages et concert de Klaxons. A pied nous suivons le circuit que nous avons préparé la veille, nous pénétrons ainsi dans le centre historique (le vieux Naples) dans ces rues étroites ou les voitures cherchent à passer malgré la faible largeur, beaucoup de bruits de scooters qui débouchent des sombres ruelles.
Certaines mères emportent les enfants sur un scooter : un sur le siège arrière, l'autre debout à l'avant, se tenant au guidon et tout ça dans un bruit de Klaxons, la (rue)Via Tribunali est très animée et bordée de plusieurs églises dont la cathédrale, c’est le trésor de San Gennaro qu’il faut admirer.
Un petit restaurant nous attire pour manger une pizza napolitaine, puis nous continuons notre balade et arrivons dans le quartier d'artisans fabriquant les santons des fameuses crèches napolitaines, d’autres boutiques on des figurines de personnages publics ou politiques.
Tout en flânant a travers les ruelles ou le linge pend à travers la rue, où on s’interpelle d’un balcon à l’autre nous allons au funiculaire qui nous emmène au château Sant Elmo.
Une ballade sur les remparts nous permets de découvrir une superbe vue sur Naples et sa magnifique baie à 380 degré, puis nous redescendons vers la ville basse et vers la gare pour rejoindre le camping. C’était une journée fatigante mais belle.
7 mai
C'est encore sous le soleil et une température de 20° que nous quittons le camping ce matin à 10h. Il faut encore viser juste pour sortir du camping, car l'accès n'a été élargi pendant la nuit.
Nous prenons la direction de Pompéi par l’autoroute car il faut traverser Naples. Nous avons prévus de monter le Vésuve mais vue que le cratère est dans les nuages nous continuons notre route jusqu’à Pompéi.
Après notre repas nous visitons le site de Pompéi, une ville ensevelie en 79 sous 6 m de cendres du Vésuve en éruption et redécouverte au 13ème siècle.
Nous sommes impressionnés par l’ampleur et la qualité de ce site.
8 mai
Journée lessive et repos.
Nous prenons le train jusqu’a Sorrento dans cette prestigieuse station balnéaire remplie d’hôtels de luxe et de somptueuses villas, puis un bateau qui nous dépose sur l’île de Capri. Une mer bleue azur, une végétation exotique et luxuriante, un habitat typiquement méditerranéen, une île de 6 km de long et 3 km de large. Un petit bus nous emmène par une très belle route de corniche a ce joli bourg Anacapri, pour les plus courageux il y a la scala fenicia ( l’escalier phénicien) avec ses 800 marches.
Après un parcours dans les ruelles un beau panorama sur le port de Marina Grande.
Après le déjeuner nous nous rendons à la ville de Capri perchée à 142 m au dessus des eaux et ou les maisons blanches et colorées se détachent sur de hautes falaises, des ruelles animées abritent des boutiques de souvenirs ou d’articles de luxe.
On atteint alors les jardins d’Auguste, une vue plonge sur les «Faraglioni» les trois célèbres rochers de Capri.
C’est comme à St Tropez , on y vient pour son cadre exceptionnel mais aussi pour ces modes et ses caprices. De la place Umberto nous prenons le funiculaire qui relie le port Marina Grande pour le retour.
10 mai
Il fait beau et chaud, 23° à 9h30 quand nous quittons le camping pour la direction du sud dans de beaux paysages de montagne avec des villages perchés.
Puis nous arrivons à Maratea, village perché à 300 m d’altitude et nous prenons une route sinueuse et très pentue qui monte au Monte San Biaggio (624 m d’altitude) la dernière partie de l’escalade dont les virages en lacets sont sur des viaducs suspendus au-dessus du vide, arrivée sur parking, nous sommes dans les nuages.
A travers la brume on découvre un magnifique panorama sur toute la région, une statue colossale (22 m de haut) représentant le Christ rédempteur est érigée au sommet.
Nous déjeunons sur place et attendons des éclaircies pour prendre quelques photos puis redescendons pour prendre la route côtière. Nous rentrons dans la Calabre et traversons les stations balnéaires tout le long de la route avec des plages désertes le plus souvent de sables gris. Nous faisons un arrêt à Cetraro, la capitale du cédrat (sorte de gros citron a la pulpe acidulée pouvant peser plusieurs kilos), face au port un endroit très bien adapté pour le bivouac.
11 mai
Nous nous réveillons tôt ce matin toujours sous le soleil, une journée chargée car nous voulons avancer avant les grandes chaleurs. La route est continuellement sinueuse, en aplomb de la mer avec de très jolis petits villages très colorée et de l’autre côté des montagnes d’ordures.
Nous débarquons à Briatico et stationnons sur le front de mer, le panorama sur la côte est spectaculaire, nous nous installons pour la nuit et comptons y rester pour la journée de demain car le dimanche il y a toujours beaucoup de circulation.
13 mai
Vers 10h nous quittons notre bivouac et prenons la route pour l’arrière pays, ses principales activités agricoles sont les oliviers, mais ce qui nous choque c’est les ordures qui s’amoncellent partout et gâche le paysage. Le long de la route on peut acheter des oignons, des pommes de terre nouvelles, des cerises, fraises etc.. Nous rejoignons le bord de mer à Bagnara Calabra, petite station balnéaire et centre de pêche, nous atteignons ensuite le rocher de Scilla qui sépare le village de pêcheurs avec ses maisons les pieds dans l’eau et l’autre coté de très belle plage bordée de maisons et de restaurants.
Dans ses eaux on pêche l’espadon traditionnellement sur des bateaux reconnaissables à leur passerelle télescopique où prend place le harponneur, attendant le signal de la vigie grimpée tout en haut du mat.
Bivouac avec vue sur la mer.
14 mai
Beau temps dès le matin, une petite promenade sur la plage ou les transats sont inoccupés puis nous nous dirigeons vers Villa San Giovanni, prendre le ferry pour la Sicile.
Tout au long de cette route sinueuse nous voyons la Sicile, séparée de l’Italie par le détroit de Messine. Il n’y a pas une grande attente pour embarquer, la traversée dure environ 30 minutes et nous débarquons à Messine.
Nous prenons la direction Torre Faro la pointe nord-est de la Sicile, le point le plus proche du continent puis nous allons à Capo di Milazzo.
La cote nord est belle sous le soleil, les lauriers-roses, les bougainvilliers, les hibiscus sont en fleurs. De la pointe du cap di Milazzo la mer à perte de vue, dans la réserve naturelle une belle promenade à pied le long d’un sentier nous fait découvrir nos premiers plants de câpres et une vue sur les îles Eoliennes et aussi sur l’Etna.
On continue de suivre la côte toujours aussi belle pour trouver un bivouac pour la nuit à Oliveri
15 mai
Nuit très calme, après avoir fait les services au camping et sur le point de reprendre la route deux camping caristes nous accostent, un allemand et un français pour des échanges d’informations.
Il est midi quand nous quittons Oliveri et prenons la direction de Palerme, la route suit la côte avec de beaux points de vue mais il n’y a pas grand chose à visiter, que des stations balnéaires. Vu notre départ tardif, nous rejoignons Termini Imerese et faisons escale au port de plaisance.
16 mai
Réveil sous un ciel gris après une nuit agitée, nous continuons tranquillement la route S113 qui longe la côte pour arriver à Palerme et s’installer sur une aire puis préparer la visite de la capitale de la Sicile pour demain.
La nuit était calme malgré la situation de l’aire en plein urbain. Nous partons en premier au Mercato Ballaro, l’un des plus grands marchés et le plus animés de la ville, on y trouve de tout, même d’étranges courgettes,
nous nous dirigeons ensuite vers l’Orto Botanico pour une balade accompagnée de chant d’oiseaux entre les ficus magnolides aux racines aériennes, une grande variété de cactus, des palmiers et parmi une curiosité botanique, l’arbre bouteille et d’autres plantes exotiques.
On se perd avec plaisir dans les ruelles emmêlées pour arriver sur la Piazza Pretoria qui est occupée par une spectaculaire fontaine surmontée de nombreuses statues de marbre.
Une bonne pizza pour reprendre des forces et nous marchons vers la cathédrale, le coeur historique se trouve au niveau du carrefour des Quattro Canti «quatre coins» en arrondi ornés de statues et de fontaines.
Après avoir passé la porte Nuova nous allons visiter les catacombes des Capucins, ce sont 8000 corps qui sont alignés, debout ou couchés, vêtus de leurs habits d’époque. On n’a pas le droit de photographier à l’intérieur. En récompense de nos efforts pédestres, nous nous offrons une bonne glace, toujours une épreuve chez le glacier, choisir entre toutes ses sortes de parfum.
Dans la soirée direction Monreale pour la nuit (à 8 km de Palerme)
18 mai
Du parking une belle vue sur la capitale, visite de la cathédrale aux mosaïques sur fond or recouvrant une surface gigantesque (6340m2) que nous trouvons magnifiques.
Direction la réserve du Zingaro en passant par Castellammare del Golfo et Costello avec ses Faraglioni, d’énormes rochers de lave noire.
Une promenade de 2 h dans la réserve naturel du Zingoro qui s’étire sur 7 km de côte, parsemée de plages et de criques. Il faut rebrousser chemin, la route prend de la hauteur et traverse un beau paysage pour rejoindre San Vito lo Capo, une autre station balnéaire.
19 mai
Aujourd’hui c’est çà .....
la Baia Sainte Marguerite
20 mai
Nuit calme sur ce parking, le ciel est tout bleu ce matin et la température monte 25°. Par une route sinueuse et étroite mais de toute beauté nous atteignons Erice à 750 m d’altitude, qui occupe tout le sommet de la montagne c’est un joli village médiéval que nous parcourons dans ses ruelles toutes pavées en damier régulier, la vue sur la côte et la plaine agricole de la province de Trapani est splendide, la spécialité locale est la pâtisserie à base de pâte d’amande.
Nous redescendons de ce nid d’aigle avec une vue sur Trapani pour prendre la route côtière
qui conduit à Marzala longée de marais salants aux couleurs subtiles, nous déjeunons en face de l’île de Mozia ou les marais salants dessinent un paysage unique avec des moulins et des gros tas de sel.
Arrivé à Marzala, sa renommée lui vient principalement de ses vins doux (le marsala) une petite promenade en ville nous permet de déguster en testant les différents type de marsala.
Avant de poursuivre notre périple un p’tit tour au marché et profiter du poisson frais pour midi. Comme ces derniers jours aujourd’hui encore une petite étape, par une route vallonnée nous traversons l’intérieur des terres avec des paysages de culture, un coté les vignes et l’autre des oliviers, c’est aussi une région fruitière avec des figues, des abricots, des oranges et agricole avec des artichauts et des oignons. Au bord de route des cactus sont couverts de figues de barbarie.
Nous rejoignons le bord de mer pour Sciacca et rejoindre le port de pêche encombré de petits chalutiers. Lors d’une balade dans cette ville nous voyons que l’artisanat de la céramique y est aussi assez développé, de nombreuses plaques en céramique posées sur les bâtiments en sont la preuve.
22 mai
La chaleur est présente, 25° à 8h ce matin, nous quittons le port pour nous diriger vers la ville d’Agrigente où il y a la vallée des temples à visiter, en cours de route nous nous aventurons jusqu’à la crique de la Scala dei Turchi, un petit paradis blanc, des falaises blanches qui se jette dans la mer.
Nous avons repéré un parking près du site d’Agrigente, c’était encore une petite étape. En fin d’après midi visite de cette série de temples grecs, construits en enfilade sur une crête (environ 1,5 km) appelées la vallée des temples.
23 mai
La soirée de hier était moins calme, la météo à changer avec du vent suivi de pluie. Ce matin le ciel est un peu couvert et un peu moins chaud, nous traversons un paysage de culture intensive
avant d’arriver à Piazza Armerina, et à proximité la Villa impériale du Casale, une riche villa romaine découverte en 1929 et intéressante pour son pavement en mosaïques recouvrant la presque totalité du sol (3500m2) Les mosaïques sont très bien conservées et sont d’une finesse extraordinaires
24 mai
Sous un ciel bleu la route nous conduit une trentaine de km plus loin à Caltagirone à l’intérieur des terres. Caltagirone mérite son appellation de capitale de la céramique, on en voit partout, sur les murs, les ponts, les bâtiments civils, les églises et dans une multitude de boutiques. Mais le plus impressionnant c’est la Scala (l’escalier) di Santa Maria del Monte de 149 marches reliant ville basse et ville haute décorées sur les contremarche de beaux carreaux de céramique.
Nous passons la nuit sur un parking avec vue sur un paysage de collines.
25 mai
Nous sommes resté sur place et profiter d’une fête des gens de la campagne remerciant la vierge de sa protection, un cortège d’enfants à vélo suivi de chevaux et de tracteurs, arrivée devant l’église Santa Maria del Monte ils on reçut la bénédiction et on offert des produits locaux pour les pauvres.
26 mai
Après une heure de route une superbe vue sur la ville de Ragusa Ibla perchée sur son rocher en contrebas un
parking nous accueille. De là, un escalier monte dans les ruelles étroites et sinueuses, on peu admirer des balcons aux consoles richement ornées de figures,
sur la place du Duomo au sommet d’un escalier s’élève l’église San Giorgio avec une magnifique façade clocher. A l’intérieur, à droite de la nef la statue St Georges tuant le dragon et à gauche un coffre en argent contenant ses reliques. Nous apprenons que ce soir il y aura une procession en l’honneur du saint patron St Georges.
A 19 heures la place est noire de monde, qui attend la descente du saint et de ses reliques par l’escalier, nous sommes surpris par cette fête. La procession parcoure les ruelles, le Saint et les Reliques rentrent dans les différentes églises pour une prière puis rejoignent la place du Duomo. Un feu d’artifice avant le début de la procession et un deuxième encore plus magique avec son et lumière à la fin avant la remontée du St Patron à l’église. Il est minuit passé que nous rejoignons le camping-car. (Vidéo ICI)
27 mai
Sous un ciel bleu magnifique 25°, nous reprenons la route vers le Capo Passero l’extrême pointe méridionale de la Sicile.
Sur notre route des serres à pertes de vue, où poussent les tomates-cerises de Pachino et une succession de petites stations balnéaires avec des plages désertes.
A l’entrée de Portopalo, des ruines d’une importante tonnara désaffectée et l’ancien village de pêcheurs qui s’est converti en une station balnéaire. Pas loin un autre village Marzamemi qui conserve un charmant quartier de pêcheurs réinvesti par des bars et restos.
28 mai
Une nuit très venteuse mais une température de 23° à 9h. Nous continuons notre périple en direction de Noto, impossible de trouver un parking pour la visite, plus loin, nous nous posons dans un camping et ne bougeons pas. Il n’y a pas beaucoup de courageux pour ce baigner, d’après les siciliens la mer devrait être beaucoup plus chaude a cette période.
30 mai
Au programme c’est la visite de Noto, accompagné par un couple de la suisse romande une voiture nous conduit au centre de la ville. Des palais, des églises, des monuments baroques, composent un «jardin de pierre» bâtis dans le calcaire blanc local qui a pris avec le temps une merveilleuse teinte dorée.
31 mai
Services faits nous prenons la route et quittons le littorale pour la réserve Cavagrande à une vingtaine de km, avec ses 25°. Du parking, un sentier entrecoupé de 575 marches plonge dans
les entrailles du canyon (la rivière Cassibile a creusé là une sorte de canyon profond de 320m) La descente prend plus d’une heure, les parois calcaires abritent des habitations troglodytiques.
Une fois en bas on peut suivre la rivière sur 2,5 km avec au programme: cascades, zones de baignades dans de petites cuvettes naturelles où coule une eau claire. La remontée prend un peu plus de temps.